Ô combien triste détresse
N’ont ni homme ni maîtresse
Pour se détendre la fesse
Bien heureux tout se confesse
Lorsque l’heure arrive et presse
Quand le corps soudain se dresse
Faut tenir son chien en laisse
Si l’on n’veut pas qu’il agresse
Tout ça pour
Se détendre la fesse
Pour se détendre la fesse
Rien que pour une’p’tite’ caresse
Certains vont te dire’ la messe
Entre temps les vaches paissent
C’est après qu’les enfants naissent
Quand les feux de la tristesse
S’illuminent’ faut qu’apparaisse
L’apollon ou la déesse
Qui délivre et qui déstresse
Tout ça pour
Se détendre la fesse
Pour se détendre la fesse
– musical –
Ô combien triste détresse
N’ont ni homme ni maîtresse
Bien heureux tout se confesse
Pour se détendre la fesse
© 2024 Jean-Marc Lagniel
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