Dans un désert où il n’y a pas d’eau Il se sent la méduse du radeau Un peu maso, un peu sado Il porte sa vie dans un sac à dos Il voit l’avenir comme un mikado Mais rêve d’un nouvel eldorado Se prend pour un desperado Souvent un peu paumé, un peu crado Il se met ses parents à dos Ne leur fait jamais de cadeaux Ne veut pas visiter le Prado Préfère chanter le blues et le fado Il suit ses études en badaud S’endort en pensant à Mado Il l’aime en aficionado Mais ce n’est encore qu’un pintadeau C’est un ado Toujours et encore Mais on l’ado - l’ado - l’ado Mais on l’adore L’ado
Bravo ! La justesse d’observation me laisse penser que tu as largement bénéficié de cours particuliers dispensés (bien malgré eux !) par les 2 zados qui cohabitent avec nous… tout ça est très bien vu ! 😉