Lorsqu’en été tu restes sur le sable Seul allongé sous un grand parasol Pas une’ sirène’ n’est là c’est lamentable Pour t’étaler dans l’dos ton Bergasol Le moi doute T’entends crier le marchand de chouchous Tu vois passer des tétons conquérants Mais au final, tu fais blanc pour le chou Serait-ce à cause’ de ton déodorant Le moi doute Quand le moi doute C’est la déroute Faut pas qu’t’écoutes Pense à l’automne Pour que résonnent Mieux tes hormones Tiens bon la route Quand le moi doute Lorsqu’en été tu comptes’ les coquillages Sur ta serviette avec tes lunettes noires T’as pas l’moral, la croisière’ fait naufrage Le cri des mouettes ça te file’ le cafard Le moi doute Tu y croyais mais là c’est la galère Ton sex-appeal ne fait pas de merveille À trop t’enduire’ de toutes’ ces crèmes’ solaires T’as rien pécho, même’ pas un coup d’soleil Le moi doute Quand le moi doute C’est la déroute Faut pas qu’t’écoutes Pense à l’automne Pour que résonnent Mieux tes hormones Tiens bon la route Quand le moi doute Là entre nous Oui je l’avoue Le moi doute Demain je rentre La queue entre les jambes Vivement septembre
© 2022 Jean-Marc Lagniel
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