Sans rien paraître Entre nos êtres Même s’il n’y a Plus de peut-être Il reste en moi Un fond d’émoi Je dois l’admettre De nos ébats Mais il faut vivre Même survivre Pour aller cueillir ailleurs Les mêmes instants de bonheur Il n’y a plus la place aux souvenirs Il n’y a plus la place aux souvenirs Le temps s’effile Il tend ses fils Qui gardent à ja- Mais les secrets Revient parfois Un fond d’émoi Oui je l’admets De nos ébats Qui m’aide à vivre À reconstruire En allant cueillir ailleurs Les mêmes frissons de bonheur Il n’y a plus la place aux souvenirs Il n’y a plus la place aux souvenirs Un nuage est passé Un ange s’est envolé Il n’y a plus la place aux souvenirs Il n’y a plus la place aux souvenirs Il n’y a plus la place aux souvenirs Il n’y a plus la place aux souvenirs
© 2021 Jean-Marc Lagniel
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